La légende de la citrouilleUne légende irlandaise raconte qu'un certain Jack, fermier paresseux très porté sur l'alcool, vendit son âme au Diable sans s'en rendre compte un soir d'ivresse. Il réussit cependant à berner le Diable, en le faisant monter sur un arbre très haut dont il ne pouvait redescendre qu'avec son aide, en échange de la promesse de ne pas lui prendre son âme. Cependant, à sa mort, Jack avait commis tant de pêchés qu'il ne réussit pas à se faire admettre au paradis. Exclu à la fois du paradis et de l'enfer, on raconte qu'il erre à la recherche d'un endroit où se reposer, avec à la main un navet creusé en lanterne dans laquelle brûlent quelques braises de l'enfer... Les lanternes d'Halloween étaient donc faites à l'origine à partir de navet, d'une pomme de terre, ou encore de betterave. L'utilisation des citrouilles date de l'époque où les Irlandais émigrés aux États-unis découvrirent ce légume et adaptèrent leurs traditions à leur nouvel environnement.
Bienvenue aux morts!Mais halloween est aussi le jour où les morts reviennent sur terre. Ce jour précis, et plsu particulièrement à minuit, les morts resortent de la terre, disparaice des enfer, decendent du paradis et viennes à notre rencontre.
L'était une sorière au nez crochue...C est à partir du 16ème siècle, pendant la période de l’Inquisition que les Sorcières, qui étaient en fait des guérisseuses, dérangeaient fortement, elles se sont vues calomniées, capturées, torturées et brûlées. C’est à cette époque qu’elles sont devenues l’incarnation du Mal absolu, de la laideur. Mais il faut savoir que les Sorcières furent, avant cette période, « le symbole de la femme parfaite réunissant en une même personne : la beauté d’Aphrodite, la Magie de Circé et les dons de prédilection de Cassandre » (Extrait de « Halloween » écrit par Patrick JEZEQUEL et Bénédicte MORANT). Elles savaient consulter la nature, l’interpréter, utiliser ses bienfaits et les cultiver pour en faire des remèdes médicinaux, pouvant soulager et guérir de terribles maux
Le chat noir... le mal aimé innocent!L'être humains n'ets il pas stupide? avoir peur d'un animal sans défense à cause d'une stupide superstition? Une stupide légende? (que voici d'ailleur^^)
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Dès le Moyen Age, l’Inquisition et l’Eglise traquèrent le chat de couleur noir. Elles l’associaient aux sorcières, elles-mêmes victimes de la persécution chrétienne.
L’Eglise voulait lutter contre les rites païens, encore très ancrés et inventa le chat démoniaque.
Ce chat symbolisait le monde des ténèbres qui éloignait le bon chrétien du droit chemin. On le soupçonnait des pires forfaits. Il participait à des sabbats mystérieux en compagnie du diable. C’était donc la parfaite représentation de Satan.
A cette époque, il était souvent mêlé à des procès de sorcellerie. Dans le procès des Templiers, il est fait mention d’adoration de Lucifer qui apparaissaient à ses adeptes sous la forme d’un chat.
En 1561, un procès eut lieu où l’on accusa des femmes de se transformer en chattes pour tenir leurs sabbats.
Ces procès se finissaient toujours par la mort des accusés mais également des pauvres animaux. Ces derniers étaient jugés comme des personnes.
Il est évident que l’Eglise avait trouvé, là, un bouc émissaire idéal pour lutter contre ses ennemis et frapper l’imaginaire populaire qui avait besoin d’une victime en chair et en os pour croire au Malin.Le chat, surtout quand sa robe était noire, attira tout au long du Moyen Age un déchaînement de violence.
Il devint la victime de la cruauté collective. Dans de nombreuses villes d’Europe, souvent en période de Carême, ont organisait des bûchers pour y sacrifier des centaines de chats.
Les malheureux chats étaient suspendus par la foule en haut d’un mât, sur le bûcher ou jetés dans des paniers d’osier au milieu du brasier.
Quand le rituel était terminé, chacun prenait une poignée de cendre pour la répandre dans sa maison et dans les champs, afin de se préserver de la disette et des épidémies.
La ville de Metz pratiqua ce type d’autodafé pour les feux de la Saint Jean jusqu’en 1777.
Le roi de France, lui-même, participa jusqu’au 18e siècle à ces autodafés de chats qui se déroulaient sur la place de Grève.
Le roi devait enflammer le tas de fagots au-dessus duquel était accroché un sac rempli de chats.
Le martyr public des chats ne fut interdit que sous louis XV. (je susi donc prête à l'adorer ce bon vieux roi)